mardi 5 août 2008

Quelques films de la programmation en cours du festival Planète Honnête








En avant-première

Un documentaire d'Eric Grinda   Artisan 14  
 " Pierre Rabhi nous parle de son mouvement: 
             Terre & Humanisme."

Ce témoignage souhaité par Pierre Rabhi ( écologiste reconnu) ou il s'explique en détails sur la charte du mouvement qu'il a fondé (mouvement pour la Terre & l'Humanisme). Ce document filmique est composé de constats et de propositions ( 12) qui nous concernent tous: Déconnection entre l'humain et la nature, relocalisation de l'économie, une autre éducation...






Nous avons aussi le plaisir de vous faire part de quelques films sélectionnés venant des quatre coins du monde.








Un film de Pierre Boccanfuso "Le chamane, son neveu et le capitaine" 87'

Sur l'île philippine de Palawan, Medsinu succède à son père en devenant le chaman d'une société isolée, vivant en forêt. A la fois guérisseur et juge de droit coutumier, Medsina perpétue les traditions ancestrales. Il doit faire face aux pressions croissantes du monde moderne incarné par les Visaya, philippins vivant sur la côte à la lisière de la forêt.
A la mort de son père , Issad devient chef de famille mais tombe malade. Ne pouvant plus assurer les durs travaux de la terre, il va sur la côte et intègre la milice du capitaine, responsable du district et représentant du gouvernement philippin. Pour soigner son mal, Issad doit alors choisir entre la médecine traditionnelle palawan et la médecine moderne, avec une éventuelle opération à la  ville lointaine . Va--il braver l'interdit du chaman opposé à la médecine moderne et aux traditions Visaya?...
Derrière les péripéties de la vie de chaque personnage du film, c'est l'avenir de la société Palawan, sa survie ou sa disparition, qui se joue sous les yeux du spectateur.























Le film De Mari Corréa  

"Pinirop, le jour où j'ai vu l'homme blanc"  83'

En 1964, s'opère le premier contact entre les indiens Ikpeng et l'homme blanc dans une région proche de la rivière Xingu dans le Mato Grosso. Alternant entre passé et présent, les Ikpeng évoquent dans un mélange de tristesse et d'humour, les précieux souvenirs de ces moments et interprètent les épisodes auxquels les Blancs et leurs caméras n'assistèrent pas. 
   











































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